Matinée du 12 octobre 2014

"Faisons nous vraiment ce que le Christ attend de nous ?"

Cette interpellation nous vient de la lettre de rentrée de notre évêque, Mgr Jacques Blaquart.

A son invitation, la paroisse de La Chapelle Saint Mesmin s'est réunie dimanche 12 octobre, avant la messe, pour réfléchir à
  • ce que le Christ attend de nous,
  • nos difficultés éventuelles à discerner sa Volonté,
  • notre manière d'y répondre
  • et plus globalement, comment notre paroisse peut contribuer à cet effort d'évangélisation attendu par notre évêque. 
Une vingtaine de paroissiens se sont réunis pour échanger sur ce thème. Auparavant, l'ensemble des mouvements et équipes paroissiales avait réfléchi aux textes de la Bible sur lesquels s'appuyait leur activité.


Temps spirituel, une journée de récollection et de prière à l’écoute de la Parole de Dieu, avec un
échange autour de la question « Faisons-nous vraiment ce que le Christ attend de nous ? » !

Propositions des équipes :

Obsèques


« Jean 14, 1-7 »


"Que votre coeur ne se trouble point. Vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi.
Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père; s'il en était autrement, je vous l'aurais dit, car je vais vous y préparer une place.
Et lorsque je m'en serai allé et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis, vous y soyez aussi;
Et là où je vais, vous en savez le chemin."
Thomas lui dit: "Seigneur, nous ne savons où vous allez; comment donc en saurions-nous le chemin?"
Jésus lui dit: "Je suis le chemin, la vérité et la vie; nul ne vient au Père que par moi.
Si vous m'aviez connu, vous auriez aussi connu mon Père...Dès à présent, vous le connaissez et vous l'avez vu."


Hospitalité Diocésaine d'O rléans


Marc 1, 14-15

Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ; il disait :
« Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »

Recommençants


Lc 15, 11-32 (le fils prodigue)

Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : “Père, donne-moi la
part de fortune qui me revient.” Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune
rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une
vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il
commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui
l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses
que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien. Alors il rentra en lui-même et se dit :
“Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me
lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis
plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.” Il se leva et s’en alla vers
son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter
à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne
suis plus digne d’être appelé ton fils.” Mais le père dit à ses serviteurs : “Vite, apportez le plus beau
vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le
veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ;
il était perdu, et il est retrouvé.” Et ils commencèrent à festoyer. Or le fils aîné était aux champs.
Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des
serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : “Ton frère est arrivé, et ton père a tué
le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.” Alors le fils aîné se mit en colère, et il
refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : “Il y a tant d’années que je
suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau
pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien
avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !” Le père répondit : “Toi, mon enfant, tu es
toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que
voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !” »

Vent d'Ouest

Matthieu 28-19-20 " allez de toutes la nations ..."

Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du
Saint-Esprit, apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous
tous les jours jusqu’à la fin du monde. »

Action Catholique des Femmes

Marthe et Marie (Luc 10.38-42)

Comme Jésus était en chemin avec ses disciples, il entra dans un village, et une femme du nom de
Marthe l'accueillit dans sa maison. Elle avait une soeur appelée Marie, qui s'assit aux pieds de Jésus
et écoutait ce qu'il disait. Marthe était affairée aux nombreuses tâches du service. Elle survint et dit:
«Seigneur, cela ne te fait-il rien que ma soeur me laisse seule pour servir? Dis-lui donc de venir
m'aider.» Jésus lui répondit: «Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour beaucoup de choses,
mais une seule est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, elle ne lui sera pas enlevée.»

Adoration

« Jean 4, 15-24 » évangile sur la samaritaine : « …..ceux qui adorent, c’est en esprit et en vérité qu’ils doivent adorer ».

La femme lui dit : « Seigneur, donne-moi de cette eau, que je n’aie plus soif, et que je n’aie plus à
venir ici pour puiser. » Jésus lui dit : « Va, appelle ton mari, et reviens. » La femme répliqua : « Je
n’ai pas de mari. » Jésus reprit : « Tu as raison de dire que tu n’as pas de mari : des maris, tu en as
eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari ; là, tu dis vrai. » La femme lui dit : «
Seigneur, je vois que tu es un prophète !... Eh bien ! Nos pères ont adoré sur la montagne qui est là,
et vous, les Juifs, vous dites que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. » Jésus lui dit : « Femme,
crois-moi : l’heure vient où vous n’irez plus ni sur cette montagne ni à Jérusalem pour adorer le
Père. Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous
connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l’heure vient – et c’est maintenant – où les vrais
adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité : tels sont les adorateurs que recherche le Père. Dieu
est esprit, et ceux qui l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer. »

Ouverture Eglise

 « Luc 11 , 1-4 » (Prier en secret + « Notre Père »)

Il arriva, comme il était en prière en un certain lieu, lorsqu'il eut achevé, qu'un de ses disciples luit dit: " Seigneur, apprenez-nous à prier, comme Jean l'a appris à ses disciples. "
Il leur dit: " Lorsque vous priez, dites: Père, que votre nom soit sanctifié; que votre règne arrive. Donnez-nous chaque jour le pain nécessaire à notre subsistance; et remettez-nous nos péchés, car nous remettons nous-mêmes à tous ceux qui nous doivent; et ne nous induisez pas en tentation. "

Rosaire

Marie nous laisse un message important aux Noces de Cana: JEAN 2:v1-12.

Et le troisième jour, il se fit des noces à Cana en Galilée; et la mère de Jésus y était. Jésus fut aussi convié aux noces avec ses disciples.
Le vin étant venu à manquer, la mère de Jésus lui dit: "Ils n'ont plus de vin."
Jésus lui répondit: "Femme, qu'est-ce que cela pour moi et pour vous? Mon heure n'est pas encore venue."
Sa mère dit aux serviteurs: "Faites tout ce qu'il vous dira."
Or, il y avait là six urnes de pierre destinées aux ablutions des Juifs et contenant chacune deux ou trois mesures.
Jésus leur dit: "Remplissez d'eau ces urnes." Et ils les remplirent jusqu'au haut.
Et il leur dit: "Puisez maintenant, et portez-en au maître du festin; et ils en portèrent.
Dès que le maître du festin eut goûté l'eau changée en vin (il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs qui avaient puisé l'eau le savaient), il interpella l'époux et lui dit:
Dès que le maître du festin eut goûté l'eau changée en vin (il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs qui avaient puisé l'eau le savaient), il interpella l'époux et lui dit:
"Tout homme sert d'abord le bon vin, et après qu'on a bu abondamment, le moins bon; mais toi, tu as gardé le bon jusqu'à ce moment."
Tel fut, à Cana de Galilée, le premier des miracles que fit Jésus, et il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui.

Secours Catholique

Matthieu 25.31 à 25.46

Il a été dit également : Si quelqu’un renvoie sa femme, qu’il lui donne un acte de répudiation. Eh
bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui renvoie sa femme, sauf en cas d’union illégitime, la pousse
à l’adultère ; et si quelqu’un épouse une femme renvoyée, il est adultère. Vous avez encore appris
qu’il a été dit aux anciens : Tu ne manqueras pas à tes serments, mais tu t’acquitteras de tes
serments envers le Seigneur. Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas jurer du tout, ni par le ciel, car
c’est le trône de Dieu, ni par la terre, car elle est son marchepied, ni par Jérusalem, car elle est la
Ville du grand Roi. Et ne jure pas non plus sur ta tête, parce que tu ne peux pas rendre un seul de
tes cheveux blanc ou noir. Que votre parole soit “oui”, si c’est “oui”, “non”, si c’est “non”. Ce qui
est en plus vient du Mauvais. Vous avez appris qu’il a été dit : OEil pour oeil, et dent pour dent. Eh
bien ! moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu’un te gifle sur la joue droite,
tends-lui encore l’autre. Et si quelqu’un veut te poursuivre en justice et prendre ta tunique, laisse-
lui encore ton manteau. Et si quelqu’un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille
avec lui. À qui te demande, donne ; à qui veut t’emprunter, ne tourne pas le dos ! Vous avez appris
qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez
vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, afin d’être vraiment les fils de votre Père qui
est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur
les justes et sur les injustes. En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense
méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ?

CCFD


Luc 10,25-37

Pour mettre Jésus à l’épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? » Jésus lui demanda : «  Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ? Que lis-tu ? » L’autre répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. » Jésus lui dit : « Ru as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. »
Mais lui, voulant montrer qu’il était un homme juste, dit à Jésus : « Et qui donc est mon prochain ? » Jésus reprit : «  Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits; ceux-ci, après l’avoir dépouillé, roué de coups, s’en allèrent en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l’autre côté. De même, un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l’autre côté.
« Mais un samaritain, qui était en voyage, arriva près de lui ; il le vit et fur saisi de pitié. Il s’approcha, pansa ses plaies en y versant de l’huile et du vin, puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. Le lendemain, il sortit deux pièces d’argent, et les donna à l’aubergiste en lui disant : « Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai. » Lequel des trois à ton avis, a été le prochain de l’homme qui était tombé entre les mains des bandits ? » Le docteur de la Loi répond : « Celui qui a fait preuve de bonté envers lui. » Jésus lui dit : «  Va et toi aussi fais de même. »

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